Presse actuelle
Also on Friday evening, the quartet of William Hooker (drums), Geraldine Eguiluz (guitar, voice, trumpet), Yves Charuest (alto saxophone), and Sam Newsome (soprano saxophone) whipped up a free jazz storm, energetic, rigorous, playful (there’s that word again), and quite enjoyable. All about Jazz 2019
Nigredo-Lunes Noires (Small Scale Music, 2015)
“[…] A paradox is created. The strings guide the mood of each piece yet each player’s emotions are clearly
guiding them as they come together to create dense soundscapes […].”
Roy Blumenfeld, 3 décembre 2015, for Cassette Gods
“Nigredo creates a performance that is tightly composed and highly emotional. These emotions range from
mournful dirges to ecstatic, pointillist runs through an impressively high upper range. […] There is an impetus:
a clarion call and then a tumbling of clunky chord progressions reacting to and coaxing some of the most
indelible and unforgettable sounds out of Eguiluz’s reedy vocal chords.”
Tome to the weather machine, 12 novembre 2015
“[…] a pagan spiritual universe […] That context is animalistic, and despite its sensuality negotiates a deep
discomfort. Nigredo is a spectacular free-jazz / improv noise ensemble. […] it leaves no doubt about what they
propose: stemming from the deliberate rendering of materials in alchemy, the term in psychology is a metaphor
for the experience of blackness, when an individual confronts the shadow within […]”
Stan Molina, 7 oct 2015, Decoder Magazine
«Eguiluz à l’art d’équilibrer adroitement l’impression traditionnelle et hors temps des textes de Lorca avec une
esthétique contemporaine. (…) les compositions d’Eguiluz nous gardent constemment dans l’état d’expectative,
requérent une réflexion délibérée (…) et à participer à l’éternelle danse de la vie et de la mort…»
Jeremiah Wall, traduit par Gilles Matte, Le journal de Val-David, octobre 2014
Rubedo’ ro (Malasartes, 2014)
“«Au coeur des mutations entre langues réelles et langages inventés, à travers le parcours géographique ou
imaginaire des peuples qu’elle a fréquentés ou rêvés, Géraldine Eguiluz refait son monde, chante et vocalise sa
folie, improvise, libère son enfant intérieur et marie sa voix à celle des cordes qui l’accompagnent. Elle vient du
Mexique, est passée par la Colombie, la France et le Portugal, puis s’est installée à Québec et à Montréal, où
elle vit maintenant. Mais dans sa musique, elle est de partout. Ou plutôt de l’alchimie, de la force mystérieuse,
de la puissance tragique et de la composition instantanée, quelque part entre la musique contemporaine écrite
ou improvisée, la musique de chambre, les sons afro-américains, la valse déconstruite, l’opéra volontairement croche et le chant autochtone. Elle joue dans le chant, incarne ses personnages intérieurs, connecte avec l’au-
delà. En pénétrant le souffle de la terre.» Le devoir,Yves Bernard, 11 avril 2014
“«Merveilleuse! Géraldine Eguiluz est tout simplement merveilleuse ! Chanteuse pleine de charme, d’émotion
et de créativité, elle évoque fortement, sur ce premier disque, la grande Iva Bittová, si celle-ci s’inspirait de
l’Amérique latine au lieu de l’Europe centrale, et c’est une comparaison qui ne déprécie pas du tout madame
Eguiluz ! Rubedo’ro propose neuf pièces de son crû, où elle est accompagnée par un quatuor à cordes, ce qui en
fait de ce projet un quintette à cordes (+ vocales). Arrangements léchés qui voguent entre musique de chambre,
danses latino-amércaines et musique actuelle. Je suis conquis de but en blanc et vous le serez aussi.»
Monsieur Délire, 13 juin 2014
“Wonderful! Géraldine Eguiluz is simply wonderful! A singer full of charm, emotion, and creativity, she strongly
brings to mind, on this debut CD for Malasartes, the great Iva Bittová, except that Eguiluz bases her wordless
singing on Latin American influences instead of Central European ones – and this comparison is no disservice
to Miss Eguiluz, believe me ! Rubedo’ro features nine of her own compositions for a string quintet: four string
instruments and her own vocal chords. Sleek arrangements that navigate the ocean between chamber music,
Latin American music, and musique actuelle. I was completely won over on the first listen, and so will you.”
Monsieur Délire, 13 juin 2014
“«Voix de la terre, aux échos jazz et sud-americains faisant vivre nymphes et esprits millénaires.» Voir ça, Saguenay
«…une des voix les plus génuines de la nouvelle musique contemporaine du Mexique…»
www.billetstours.com
“…Her music includes laughter ,poetry, jubilation, surprise, and transformation. In performance she embodies a flowing energy, inviting everyone around to join in the journey”
Ellwood Epps, Montréal
“A visionary singer…”
Voir ça Montréal
« Elle est une force de la nature lorsqu’ elle performe, et est rapidement devenue partie intégrante de la scène créative Montréalaise depuis son arrivée en 2011… »
L’ Envers, Montréal
« Sa démarche éveille les sens, de sa voix émane une lumière, de son souffle se créé une poésie de ses mains s’élève un langage. Au coeur d’un passage initiatique, en temps de lumière, elle parcourt les cycles de vie, les éléments de vie; nos racines, la source : nos voix. »
Mélisa Gagné, Fissions, Québec)
XVI Vision Festival (critique du concert Albedo Solo, New York 2011)
“« Les étoiles internationales du festival ont été Tomasz Stanko, John Tchicaï du Danemark, Aamir ElSaffar d’Iraq et Géraldine Eguiluz du Mexique. Le public a été touché avec la profondeur que la musicienne et shaman Géraldine Eguiluz nous a transporté : elle travaille avec plusieurs instruments dont la guitare, percussions et voix, ancrés dans un folklore musical et visuel; avec chaque fibre de sa présence elle a créée un espace spirituel qui enveloppe le public. Une femme à l’ énérgie visionnaire qui est une bénédiction pour un festival où le côté masculin domine encore. »
Von Renate Da Rin, Jazzthetik, Germany, 09,10,11
“The international highlights of the festival were, alongside Tomasz Stanko, John Tchicai from Denmark, Amir ElSaffar from Iraq and Geraldine Eguiluz from Mexico.The audience was touched on that same level of depth by musician and shaman Geraldine Eguiluz : she works with a variety of instruments, guitar, percussion, voice, and folkloristic visual anchors, with every fibre of her presence creating a spiritual space that envelops her listeners. A visionary female energy that is a blessing for the still largely male dominated festival.”
Von Renate Da Rin, Jazzthetik, Germany, 09/10/11
The Kitchen (Concert for nonnet, New York 2004)
“Mexican/French guitarist and vocalist Géraldine Célérier, who has been critically acclaimed for her “hypnotic voice and acrobatics on strings and lips” (Ciclo Mas Jazz, Mexico), makes her first U.S. appearance with the premiere of three movements, Canto Atlante, Rumbos, and Obsidiana, as well as composers Joe McPhee and Elliott Sharp. Géraldine Célérier is appearing as part of Mexico Now, a citywide festival of contemporary Mexican arts and culture.” Rhizome 2004
Bacaanda Multimédia (Mexique, 2000-2003)
“« Bacaanda Multimédia, où le rêve de la transdiscipline »
« Le jazz et l’art vidéo, point de départ du spectacle de Géraldine Célérier et Minerva Hernandez, Le rêve »
Xavier Quirarte, La Cronica, 10/2003
« Le rêve transformé en spectacle multimedia. »
Xavier Quirarte
« Bacaanda, une mise en scène itinérante qui donne forme a un travail interdisciplinaire où la musique à travers l’improvisation est le point de départ pour un festin créatif de vidéo, poésie et danse… »
Sergio Monsalvo, Clazz, 11/2002
« Ce spectacle se construit de voix, duo en circuit fermé, quartet et visages avec des gouttes d’eau en mouvement, voix, piano, femmes dans les fruits, voix et lumière »
Excelsior, 10/2002
« Les rêves, l’interdiscipline dans le spectacle Reminiscences de Géraldine Célérier » Conaculta, Ciclos jazz en el blas, 2002
Aramat , Tritonia (Ars Flventis Records, Mexique, 2000)
“« …Imprévisible, artistique; Tritonia propose une grande liberté musicale… »
« C’est précisément cette magie qui place Tritonia à la crête d’une vague avec une seule impulsion et direction, un unique motif, la conquête de la joie pour pouvoir nous l’offrir…”
Alejandro Ortiz Gonzalez, 03/2001
« Une musique différente, directe et défiante. »
Eduardo Piatro, Mas Jazz, Benito Juarez, 03/2001
« Aramat, présente une palette musicale engagée avec leur concept jazzistique de recherche et expérimentation, comme ils le font de manière constante depuis leur création en 1996. »
Sergio Monsalvo, Scatt, 09/2000
« Tritonia génère à travers l’improvisation collective et certains classiques du réprtoire jazz, une expression musicale originale, encadrée dans un spectacle spirituel, imprtévisible et de grande qualité artidstique… »
Cultura, mas jazz, 03/2000
« Un grand disque, très recommandé, qui démontre que le jazz mexicain est en bonne santé. »
Chili Calatayud, La Mosca en la pared, 2000
« La liberté musicale qu’un groupe comme Tritonia projette, c’est que Géraldine Célérier a pu explorer sa voix, ses textures, ses extentions, ses capacités dynamiques. »
Sergio Monsalvo
« C’est évident qu’après avoir travaillé ensemble toutes ces années, le groupe est encore plus mûr. »
Promojazz, 11/2000
« Leur proposition est un voyage, créant une ambiance unique, authentique et prometteuse… »
« Tritonia présente Aramat; free jazz de la meilleure facture. »
La jornada, Antonio Malacara, 10/2000
Prisma, Tritonia (Ars Flventis Records, Mexique, 1998)
« Si Cirrus fut un intempestif jet de lumière, Prisma en est la continuité d’une vocation, et dans son extention, l’épuration d’un concept…”
David Cortes, La Cronica, 06/04/1999
« Tritonia, fidèle à l’improvisation comme essence su jazz. »
Mauricio Matamoros, Unomasuno, 01/1999
« …couleurs et sonorités qui vont de la jungle au monde urbain; plus qu’un groupe, c’est un atelier de composition, dans lequel chacun exprime sa liberté en cassant les règles, jouant et s’engageant les uns avec les autres… »
« Tritonia, un prisme d’improvisations. »
Xavier Quirarte, La Cronica, 23,/12/1999
« …un voyage aux multiples tonalités qui aboutit toujours à l’élégance du ocre… Tritonia maintient une proposition ludique sérieuse chaque fois plus mûre à l’intérieur du free… »
Antonio Malacara, 02/06/2000
Cirrus, Tritonia (Ars Flventis Records, Mexique, 1997)
« …Tritonia est fortement musique concrète, nouvelles, génuines, audace et imagination improvisée… »
« …du jazz au meilleur niveau…»
Pablo Espinoza, La jornada, 25/02/97
« …avec les oreilles attentives aux murmures intérieurs, Tritonia s’expose en faveur de la voix humaine (organique et instumentale)… »
Sergio Monsalvo, El Nacional, 22/02/97
« …Tritonia es un ensemble avec des caractéristiques uniques qui lui donnent une place spéciale dans le milieu du jazz mexicain… »
Mike Sandoval, 21/02/1997
« …cet ensemble aborde un langage entièrement libre, fortement aléatoire, un mélange de “musique concrète“ qui le fraternise avec les nouvelles tendances du jazz, ainsi qu’avec les expériences de Diamanda Galas et Cathy Berberian. Eux l’appellent du jazz libre. »
Aurelio Tello, Tiempo Libre, 02/1997
« …une des voix les plus génuines de la nouvelle musique contemporaine du Mexique… »
Aurelio Tello, Tiempo Libre 1997
« …le groupe Tritonia appartient à ce que certains considèrent le nouveau courant du jazz mexicain… »
Oscar Enrique Ornelas, El financiero, 18/04/1997
« Tritonia, une proposition qui n’ a pas peur de la fusion de genres et l’expériementation… »
Xavier Quirarte, La Cronica, 26/02/1997
« Voix, distortions, sons qui renient l’autocomplaisance… »
Elena Vilchis, La cronica, 1997
« Tritonia, un quartet de jazz avec du punch… »
Luis Franco Ramos, El Nacional, 29/03/1997
« …un spectre musical qui oscille entre le tribal exotique et la précision de la composition intellectuelle; l’utlilisation de la voix, acquiert la qualité exacerbée de l’instrument… »
Rodolfo Garcia, Al de Pueblla, 01/11/1997
« Audace et imagination improvisée… »
La voz de Michoacan, 19/06/1997
« …proposition totalement nouvelle par l’originalité de leurs idées; le son du groupe rompt avec les conventions; Cirrus est une magnifique carte de présentation pour ouvrir les portes du 20e siècle”.
Evodio Escalante, Uno Mas Uno 17/05/1997